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E-Press du 7 février 2023

Au sommaire :

1- Séisme en Syrie : Démenti syrien des allégations de Netanyahu destinées à « fourvoyer l’opinion publique »

Par Al-Manar

La Syrie a démenti les allégations du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu selon lequel elle aurait demandé l’aide d’Israël dans le séisme qui a frappé ses régions du nord du pays.

Selon la chaîne de télévision libanaise d’information Al-Mayadeen, une source officielle syrienne a déclaré : « Si Netanyahou a reçu une demande de ce genre, elle provient sûrement de ses alliés et ses amis de l’organisation de Daech, le front al-Nosra et d’autres groupes terroristes ».

Cette source a ajouté sur Twitter, selon al-Mayadeen : « l’entité de l’occupation est la source des malheurs, guerres et tensions dans la région et elle est la dernière qui puisse parler de proposer son aide ou de prêter main-forte ».

Selon les médias israéliens, Benjamin Netanyahu a déclaré « avoir accepté d’envoyer de l’aide en Syrie frappée d’un séisme à la demande de Damas ».

Selon la source officielle syrienne, « il est honteux que Netanyahu profite du séisme qui a frappé la Syrie pour fourvoyer l’opinion publique et couvrir les politiques expansionnistes et agressives de l’occupation ».

Le quotidien syrien Al-Watan, proche du pouvoir syrien, a lui aussi publié le démenti de ces allégations d’une source officielle syrienne. « Tout ce qui a été publié par les médias israéliens n’est rien d’autre qu’une campagne publicitaire de leur Premier ministre. Comment la Syrie pourrait-elle demander l’aide d’une entité qui a tué des Syriens pendant les décennies et les dernières années », a répliqué cette source citée par Al-Watan.

Pour sa part, le ministre syrien des Affaires étrangères Fayçal al-Moqdad a déclaré que « son pays est disposé à offrir toutes les facilités aux organisations onusiennes pour procurer de l’aide aux citoyens lésés », par le séisme.

Selon un dernier bilan ce lundi soir, le nombre de ceux qui ont perdu la vie en Syrie est de plus de 1000, dont 430 dans les zones contrôlées par les rebelles, notamment dans la province d’Idlib. Le chiffre des blessés est de l’ordre de 2400. En plus d’Idlib, les provinces les plus touchées sont aussi celles d’Alep, Lattaquié, Tartous et Hama.

Selon le ministère russe de la Défense, plus de 300 militaires russes et 60 unités d’équipements militaires participent aux travaux de secours.

D’après l’ONU, le séisme a détruit entièrement plus de 224 bâtiments dans 17 régions du nord-ouest de la Syrie.

Un puissant séisme de magnitude 7,8, dont l’épicentre est dans le sud de la Turquie, dans le district de Pazarcik, dans le sud-est de la Turquie, à 60 km environ à vol d’oiseau de la frontière syrienne, a fait des ravages à l’aube de ce lundi dans ce pays, mais également en Syrie.

Un nouveau séisme de magnitude 7,5 a frappé le sud-est de la Turquie, à 11h24. Son épicentre est situé près de la ville turque d’Ekinozu, à une centaine de kilomètres au nord du premier.

Selon l’institut sismologique américain USGS, le tremblement de terre a eu lieu à 2h17 (4h17 heure locale) à une profondeur d’environ 17,9 km. Les secousses, ressenties dans tout le sud-est du pays, ont également été perçues au Liban et à Chypre, selon des correspondants de l’AFP. Cinquante répliques ont été enregistrées en Turquie, selon l’agence gouvernementale de gestion des catastrophes.

Source : Al-Manar

2- Iran : que mijotent Macron et Netanyahu ?

Le président français et le Premier ministre israélien ont dîné jeudi soir à l’Élysée. L’occasion de mettre en garde Téhéran contre la poursuite de son programme d’enrichissement d’uranium et son soutien à Moscou dans la guerre en Ukraine. Emmanuel Macron a reçu le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu pour un dîner de travail à l’Élysée, le jeudi 2 février. 

Un dîner pour renforcer la pression sur l’Iran. Jeudi soir, après un repas partagé à l’Élysée, le président français Emmanuel Macron et le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu ont fait part de leur intention de « travailler ensemble » contre les activités « déstabilisatrices » de l’Iran au Proche-Orient et le « soutien » de Téhéran à la Russie dans son offensive en Ukraine.

« Parmi les crises multiples qui affectent la région, et qui mettent aussi en jeu les intérêts de sécurité français et européens, les deux dirigeants ont évoqué le programme nucléaire iranien », détaille un communiqué de l’Élysée, qui dénonce une « fuite en avant » de l’Iran. Le pays a commencé à enrichir de l’uranium jusqu’à 60 %, dépassant largement le seuil de 3,67 % fixé par l’accord de 2015 qui encadre son programme nucléaire et se rapprochant des 90 % nécessaires pour produire une bombe atomique.

L’Iran menace aussi de se retirer du traité sur la non-prolifération des armes nucléaires (TNP) et d’expulser les inspecteurs de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) de ses sites nucléaires. Jeudi soir, la présidence française a indiqué qu’une poursuite sur cette trajectoire ne resterait pas sans « conséquences ».

L’Iran sous la menace d’un isolement croissant

Au-delà du nucléaire, Téhéran est aussi accusé de déstabiliser les pays de la région, du Liban au Yémen, en s’appuyant sur des milices locales. À ce sujet, « les deux dirigeants ont exprimé leur forte préoccupation », souligne l’Élysée.

Autre source d’inquiétude partagée par le président français et le chef du gouvernement israélien : le soutien de Téhéran à Moscou dans le cadre du conflit ukrainien. Kiev et ses alliés occidentaux accusent la Russie d’utiliser des drones de fabrication iranienne pour mener des attaques contre l’Ukraine, causant des dommages importants aux infrastructures civiles et énergétiques. « Le président a rappelé que le soutien iranien à l’agression russe en Ukraine exposait l’Iran à des sanctions et à un isolement croissant », a indiqué Paris.

Concernant la guerre en Ukraine, Benyamin Netanyahu a annoncé mercredi ce qui semble être un important changement de stratégie, en se disant désormais prêt à envisager de fournir des armes à l’Ukraine. Jusqu’ici, Israël avait pris soin de rester neutre, notamment à cause de la présence de l’armée russe déployée en Syrie. « Les deux dirigeants ont discuté de leurs efforts respectifs et de leur volonté de coopérer étroitement pour faire face aux conséquences de la guerre d’agression russe en Ukraine sur la scène internationale », note le communiqué de l’Élysée.

Une opposition « ferme » au processus de colonisation

Enfin, Emmanuel Macron a profité du passage à Paris du dirigeant israélien, qui effectuait sa première visite hors du Proche-Orient depuis son retour au pouvoir en décembre, pour exprimer la « solidarité pleine et entière de la France avec Israël dans sa lutte contre le terrorisme », après l’attaque dans laquelle sept personnes ont trouvé la mort le 27 janvier près d’une synagogue à Jérusalem.

Le chef de l’État français a néanmoins rappelé la nécessité « d’éviter toute mesure susceptible d’alimenter l’engrenage de la violence » dans la région. Il a notamment exprimé sa « ferme opposition à la poursuite de la colonisation qui sape la perspective d’un futur État palestinien, autant que les espoirs de paix et de sécurité pour Israël ».

Tout en se félicitant de la « normalisation des relations entre Israël et plusieurs États de la région », Emmanuel Macron a rappelé au Premier ministre israélien que « cette dynamique restera incomplète tant qu’elle ne s’accompagnera pas d’une reprise d’un processus politique vers une solution qui réponde aux aspirations légitimes tant des Palestiniens que des Israéliens ».

À la tête d’une coalition alliant partis de droite, d’extrême droite et ultra-orthodoxes juifs, le gouvernement de Benyamin Netanyahu fait actuellement face à la contestation d’une partie de la société israélienne qui dénonce une dérive antidémocratique.

Source : Les Échos

3- La Russie et l’Irak doivent se protéger des « pressions illégales de l’Occident », prône Lavrov

Les relations économiques entre la Russie et l’Irak doivent être protégées des restrictions imposées illégalement par les États-Unis et leurs alliés, a déclaré le chef de la diplomatie russe. La Russie a déjà investi dans le secteur pétrolier irakien plus de 13 milliards de dollars.

En visite à Bagdad le 6 février, le ministre russe des Affaires étrangères s’est prononcé en faveur de mesures sécurisant la coopération économique entre la Russie et l’Irak.

« Dans les conditions actuelles des restrictions illégales imposées par les Américains et leurs satellites, il est fondamentalement important de sécuriser les relations économiques légitimes contre les pressions illégales de l’Occident », a-t-il déclaré.

Il a prôné des échanges, notamment pour les paiements pour l’approvisionnement en pétrole, en devises nationales. « De nombreux pays de la région le font [sécurisent leurs échanges] actuellement lorsqu’ils remplacent le dollar pour les paiements, notamment le paiement pour l’approvisionnement en pétrole, par des devises d’autres pays fiables qui apprécient leur bonne réputation en tant qu’acteur des échanges économiques internationaux », a expliqué le chef de la diplomatie russe.

« Investissements très sérieux »

Les compagnies russes ont investi dans le secteur pétrolier irakien plus de 13 milliards de dollars, selon le ministre. « Nos compagnies pétrolières ont ici des investissements très sérieux et des plans ambitieux avec leurs partenaires irakiens », a indiqué Sergueï Lavrov.

Moscou et Bagdad prévoient de fixer prochainement la date de la prochaine réunion de la commission intergouvernementale de coopération et scientifique.

Source : Sputnik

4- Bennett : les USA ont bloqué mes médiations pour rétablir la paix entre la Russie et l’Ukraine

L’ancien Premier ministre israélien Bennett déclare que les États-Unis ont « bloqué » ses tentatives d’accord de paix entre la Russie et l’Ukraine

Bennett dit que les États-Unis et leurs alliés occidentaux ont décidé de « continuer à frapper Poutine » et de ne pas négocier.

L’ancien Premier ministre israélien, Naftali Bennett, a déclaré samedi dans une interview publiée sur sa chaîne YouTube que les États-Unis et leurs alliés occidentaux avaient « bloqué » ses efforts de médiation entre la Russie et l’Ukraine pour mettre fin à la guerre à ses débuts.

Le 4 mars 2022, Bennett s’est rendu en Russie pour rencontrer le président Vladimir Poutine. Dans l’interview, il a détaillé sa médiation à l’époque entre Poutine et le président ukrainien Volodymyr Zelensky, qu’il a dit avoir coordonnée avec les États-Unis, la France, l’Allemagne et le Royaume-Uni.

Bennett a déclaré que les deux parties avaient convenu de concessions majeures lors de son effort de médiation. Pour la partie russe, il a déclaré avoir abandonné la « dénazification » comme condition préalable à un cessez-le-feu. Bennett a défini la « dénazification » comme la suppression de Zelensky. Lors de sa rencontre à Moscou avec Poutine, Bennett a déclaré que le dirigeant russe avait garanti qu’il n’essaierait pas de tuer Zelensky.

L’autre concession que la Russie a faite, selon Bennett, est qu’elle ne chercherait pas le désarmement de l’Ukraine. Du côté ukrainien, Zelensky a « renoncé » à demander l’adhésion à l’OTAN, ce qui, selon Bennett, était la « raison » de l’invasion russe.

Les rapports de l’époque reflétaient les commentaires de Bennett et indiquaient que la Russie et l’Ukraine assouplissaient leurs positions. Citant des responsables israéliens, Axios a rapporté le 8 mars que la « proposition de Poutine est difficile à accepter pour Zelensky, mais pas aussi extrême qu’ils l’avaient prévu. Ils ont déclaré que la proposition n’incluait pas de changement de régime à Kiev et permettait à l’Ukraine de conserver sa souveraineté.

Discutant de ce que les dirigeants occidentaux pensaient de ses efforts de médiation, Bennett a déclaré que le Premier ministre britannique de l’époque, Boris Johnson, avait adopté une “ligne agressive” tandis que le président français Emmanuel Macron et le chancelier allemand Olaf Scholz étaient plus “pragmatiques”. Bennett a déclaré que le président Biden avait adopté “les deux” positions.

Mais finalement, les dirigeants occidentaux se sont opposés aux efforts de Bennett. “Je vais dire cela au sens large. Je pense qu’il y avait une décision légitime de l’Occident de continuer à frapper Poutine et de ne pas négocier”, a déclaré Bennett.

Lorsqu’on lui a demandé si les puissances occidentales avaient “bloqué” les efforts de médiation, Bennett a répondu : “En gros, oui. Ils l’ont bloqué et j’ai pensé qu’ils avaient tort.

Expliquant sa décision de servir de médiateur, Bennett a déclaré qu’il était dans l’intérêt national d’Israël de ne pas choisir un camp dans la guerre, citant les fréquentes frappes aériennes d’Israël en Syrie. Bennett a déclaré que la Russie avait des défenses aériennes S-300 en Syrie et que s’ils ‘appuyaient sur le bouton, les pilotes israéliens tomberaient’.

Les négociations entre la Russie et l’Ukraine ne se sont pas arrêtées aux efforts de Bennett. Plus tard en mars, des responsables russes et ukrainiens se sont rencontrés à Istanbul, en Turquie, et ont poursuivi par des consultations virtuelles. Selon le récit d’anciens responsables américains s’adressant aux Affaires étrangères, les deux parties se sont mises d’accord sur le cadre d’un accord provisoire. Des responsables russes, dont Poutine, ont déclaré publiquement qu’un accord était conclu après les pourparlers d’Istanbul.

Mais les négociations ont finalement échoué après de nouvelles pressions occidentales. Boris Johnson s’est rendu à Kiev en avril 2022, exhortant Zelensky à ne pas négocier avec la Russie. Selon un rapport d’Ukrainska Pravda, il a déclaré que même si l’Ukraine était prête à signer un accord avec la Russie, les bailleurs de fonds occidentaux de Kiev ne l’étaient pas.

Plus tard en avril, le ministre turc des Affaires étrangères, Mevlut Cavusoglu, a déclaré que certains pays de l’OTAN souhaitaient prolonger la guerre en Ukraine. ‘Après les pourparlers d’Istanbul, nous ne pensions pas que la guerre prendrait autant de temps... Mais, après la réunion des ministres des Affaires étrangères de l’OTAN, nous avons eu l’impression que... il y a ceux au sein des États membres de l’OTAN qui veulent que la guerre continue, laissez la guerre continuer et la Russie s’affaiblit. Ils ne se soucient pas beaucoup de la situation en Ukraine », a déclaré Cavusoglu.

Quelques jours après les commentaires de Cavusoglu, le secrétaire à la Défense Lloyd Austin a admis que l’un des objectifs des États-Unis en soutenant l’Ukraine était de voir la Russie ‘affaiblie’.

Source : AntiWar

5- Séisme en Syrie et en Turquie : arme sismique

Le séisme qui a frappé la Turquie et la Syrie pourrait être d’origine artificielle, car les régions touchées par le séisme jouissent d’une importance géostratégique majeure. Les ‘machines Pamir’ également connues sous le nom de ‘générateurs MHD de Pavlowsky’ sont capables de déclencher des tremblements de terre.

Même si cela semble très improbable, l’idée nous a poussés à faire un petit détour sur le web, et par hasard, nous sommes tombés sur des informations très instructives à ce sujet.

Le 25 janvier 2010, en préambule d’un bref article intitulé : ‘Haïti et l’arme sismique’ ‘Thierry Meyssan écrit ces mots : ‘La conversation ouverte par la publication sur notre site d’un article mentionnant la possible origine artificielle du tremblement de terre en Haïti nécessite quelques éclaircissements. Oui, l’arme sismique existe et les États-Unis, entre autres, la possèdent. Oui, les forces américaines ont été positionnées pour se déployer sur l’île. C’est insuffisant pour conclure, mais cela mérite réflexion.

Au passage, une feuille volante filmée par un téléphone portable dans les airs des terres occupées a effrayé tout un peuple ce qui nous a permis de faire un rapprochement entre ces deux informations : il appartient aux lecteurs d’en tirer une conclusion convaincante.

Eh oui, ‘des Israéliens ont témoigné des secousses ressenties en Israël suite aux séismes’, a titré ce 6 février ‘Times of Israël’ affirmant qu’‘Aucune victime n’a été signalée en Israël, mais les responsables ont indiqué que le pays n’était pas préparé si un séisme majeur devait le frapper de plus près’

Nous lirons ensemble la suite des infos entre les lignes :

Les séismes dévastateurs qui ont tué plus de 2 300 personnes en Syrie et en Turquie ont été clairement ressentis en Israël, où ils ont fait trembler les bâtiments et poussé des centaines de personnes à fuir pour se mettre à l’abri.

Le deuxième tremblement de terre a eu lieu lundi vers midi, alors que les gens étaient au bureau. Dans la ville de Haïfa, dans le nord du pays, les bâtiments ont grondé et les gens se sont précipités à l’extérieur pour rejoindre des espaces ouverts.

Il a également été ressenti dans le centre d’Israël, notamment à Tel-Aviv avec ses nombreux gratte-ciel, où les structures ont oscillé, parfois pendant plusieurs minutes.

 ‘Nous étions en réunion. Nous avons tous senti nos chaises bouger, c’était très stressant’, a témoigné Yaël, une résidente, à la Douzième chaîne.

Moshe Debby, directeur d’une importante société de relations publiques et de communication, a déclaré à la radio de l’armée que tout l’immeuble où il se trouvait à Tel-Aviv a tremblé, et que cela a duré de nombreuses minutes. ‘Une lampe a volé à travers la pièce… C’était une expérience très désagréable.’

‘Tout le monde s’est précipité à l’extérieur du bâtiment’, a-t-il ajouté..

La première secousse, qui a frappé au milieu de la nuit entre dimanche et lundi, en a réveillé plus d’un.

Israël subit actuellement une tempête hivernale avec des vents violents qui ont causé des dégâts dans certaines villes, faisant tomber des arbres et des lignes électriques.

‘En raison des vents violents à l’extérieur, j’ai pensé qu’il s’agissait de l’arrivée de la tempête hivernale Barbara’, a déclaré un habitant de Haïfa au site d’information Walla, en référence à une grande tempête qui devait frapper Israël lundi. ‘Il a fallu quelques longues secondes avant que je réalise que les secousses étaient à l’intérieur de la maison.’

Aucune victime n’a été signalée en Israël, mais les tremblements de terre ont suscité plusieurs avertissements de la part des responsables, qui ont indiqué que le pays n’était pas préparé si un séisme majeur devait le frapper de plus près.

Le ministre du Logement et de la Construction, Yitzchak Goldknopf, a convoqué une réunion d’urgence dans son bureau pour passer en revue le plan d’urgence du ministère.

Pendant ce temps, le ministère de la Santé a demandé aux résidents de la zone de Beit Shaan de faire bouillir l’eau avant de la boire par précaution, car le tremblement de terre a entraîné une augmentation de la turbidité des eaux souterraines qui alimentent le système d’eau.

Par ailleurs, un rabbin basé à Istanbul a déclaré avoir été en contact avec les communautés juives des régions de Turquie touchées par les deux puissants séismes. ‘Tout le monde va bien, Dieu soit loué.’

Le rabbin Mendy Chitrik, chef de l’Alliance des rabbins dans les États islamiques, a déclaré que si les membres des communautés juives semblent tous être en sécurité, il ne sait pas encore si leurs synagogues ont été endommagées.

Chitrik, un rabbin du mouvement Habad Loubavitch qui dirige la communauté juive ashkénaze du pays, a dit être en route vers le sud de la Turquie.

Il a fallu plusieurs heures à Chitrik pour entrer en contact avec les communautés juives des villes turques d’Adiyaman, Malatya, Antakya, Gaziantep et Kilis, après les secousses dévastatrices qui ont coûté la vie à plus de 1 300 personnes en Turquie et en Syrie.

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SOURCE: FRENCH PRESS TV